
Gros câlin à mon précieux allié, le surmenage professionnel
Il était 6 h 00 du matin. Mon cadran sonnait. J’ouvrais mes yeux et je soupirais. Je me disais : « OH NON, PAS UNE AUTRE JOURNÉE. » Bon, je me disais que c’était une journée de moins à faire dans l’année. Je pleurais et j’y allais de reculons.