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Cela fait un an que j’écris pour LeCahier. Je me suis joint à une équipe dont je ne connaissais personne, ni même Camille Dg. Je me suis lancé dans l’aventure de la rédaction. Depuis juillet 2018, j’ai écrit sur divers sujets : que ce soit sur les faits vécus, le style de vie, les voyages et les arts, je racontais quelque chose. À ma grande surprise, certains de mes articles ont été plus populaires que je ne l’aurai pensé, notamment « Faire face au dating moderne » et « Elle m’a raconté son viol ». Je me suis posé la question plusieurs fois au cours de la dernière année : pourquoi j’écris pour LeCahier ?
Je dois vous avouer quelque chose : j’écris des articles d’une façon régulière depuis janvier 2017. À la base, j’écrivais pour le web-magazine des étudiants en communication de l’Université de Montréal, le COMMEDIA. C’est là que j'ai fait mes premiers pas. Je m’amusais à écrire des articles sur des sujets qui m’intéressaient. J’ai continué à écrire pour ce web-magazine jusqu’en avril 2018, le moment où j’ai fini mes études en communication. Malgré tout, deux mois plus tard, je ressentais le besoin d’écrire à nouveau. Quand j’ai envoyé un message à LeCahier pour leur parler de mon intérêt à rejoindre leur équipe, j’ai reçu une réponse comme quoi ils voulaient que je leur envoie deux articles qui pourraient figurer sur le blogue. J’ai donc écrit les deux articles en moins d’une semaine et je suis officiellement devenu un collaborateur.
Et maintenant ? Un an plus tard, pourquoi j’écris pour LeCahier ? Il y a une chose bien importante que toute personne devrait savoir. Écrire pour LeCahier ou pour n’importe quel autre blogue, magazine ou journal, ça ne vous apportera pas fortune et gloire. Oui, ça peut être une manière de se faire découvrir. Mais, vous ne deviendriez pas populaire sur Facebook ou sur Instagram comme par magie. Dans mon cas, j’écris pour LeCahier, parce que justement j’ai des choses à dire. J’écris de longs textes sur Facebook qui sont consultés que par mes amis. Écrire pour LeCahier me permet de m’exprimer pour un plus large public et de constater que mes articles se rendent bien plus loin que juste dans mon cercle d’amis.
Source image : Unsplash
J’écris pour LeCahier d’abord et avant tout par intérêt. Pour la plupart des collaboratrices(et des collaborateurs, même si les gars sont rares sur ce blogue), quand on écrit des articles, c’est parce qu’on a le goût de discuter d’un sujet quelconque, que ce soit pour raconter notre dernier voyage en Europe, discuter sur la plus récente série sur Netflix ou raconter une histoire personnelle et la partager aux autres. On le fait parce qu’on a le goût d’écrire sur ce sujet. Nous avons le plaisir de partager nos découvertes, nos pensées et nos idées, le tout sans gêne et sans censure. Et surtout, nous aimons lorsque nos idées sont partagées et repartagées par des dizaines, voire des centaines de personnes. Le blogue nous permet de nous surpasser.
Bref, j’écris pour LeCahier, parce que j’aime ça. Si je n’aimais pas ça, j’aurais arrêté d’écrire et j’aurai fait quelque chose d’autre de mes journées. Mais, la réalité c’est qu’entre les sorties entre amis et les soirées à jouer aux jeux vidéo, un an plus tard, je continue d’écrire pour LeCahier. Certains d’entre nous écrivent au moins une fois par semaine, d’autres une fois par mois. Personnellement, j’essaie toujours d’écrire au moins deux fois par mois. Heureusement, j’écris sur des sujets variés et je crois que celles qui travaillent pour le blogue sont contentes de ma participation. Déjà, ça donne le goût de continuer d’écrire. Est-ce que je vais continuer d’écrire pour LeCahier une autre année ? Seul l’avenir nous le dira, mais il est fort probable que je veuille continuer à m’impliquer.