Raphaëlle Bérubé

Je t’ai connue dans cette période creuse qu’était mon adolescence, les cours de maths étant si propices aux grandes discussions sur des bouts de papier qu’on faisait circuler dans un taille-crayon.

Cette force en nous qui nous fait vibrer, lorsque partagée avec les autres. Ce domaine dans lequel on se sent totalement libre, où l’on agit sans se remettre en doute, sans se poser de question. Cette chose que l’on fait, dans laquelle on exprime qui on est.