Quand on reste à Montréal pour l’été, il faut absolument savoir profiter des merveilles de notre beau territoire québécois. Sportifs, ou pas trop, sauront profiter des joies d’une belle fin de semaine à la belle étoile, dans une de nos rivières du Québec. Dépendant de votre niveau, il y en a plusieurs où vous pourrez profiter du plein air, de la plage et d’un paysage à ravir.

Voici les 5 étapes pour une fin de semaine en canot-camping réussie

1. Trouver une rivière qui vous conviendra.

Les différents parcs du Québec contiennent une foule de rivières et de lacs où il est possible de louer de l’équipement pour faire du canot. Par exemple, la Sépaq offre plusieurs rivières, comme la Rouge-Matawin, où il y a quelques rapides, mais où il est possible de trouver un coin pour les plus débutants. Sinon, il y a la rivière Rouge, près de Mont-Tremblant, ou les parcs fédéraux de Parcs Canada, comme le parc de la Mauricie.

Une fois la rivière choisie, il est bien important de trouver une carte, car les dédales des rivières peuvent nous mener à de bien mauvaises surprises…

François Léger Savard, Photographe
Crédit: François Léger Savard, Photographe

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2- Trouver l'équipement

L’équipement principal est bien évidemment un canot et des pagaies. Certains en auront, d’autres iront les louer dans un centre sportif ou bien directement sur place. Plusieurs parcs offrent ce service et le transport jusqu’à la rivière; c’est un peu plus cher, mais un peu moins compliqué. Si vous amenez vos canots, il faut savoir comment vous allez revenir au point de départ à la fin du week-end (deux autos, un vélo, etc.).

Ensuite, l’équipement nécessaire se situe au niveau du VFI, du casque (pour les rapides) et de tout l’équipement de camping; le brûleur, la tente, les sleeping bags, les matelas. Une fois le tout trouvé, vous serez presque prêts à partir.

3- La bouuuuuffe

Moi qui étais adepte de la bouffe la moins compliquée pour le camping (pâtes, sandwich), un ami m’a fait changer d’opinion. Pourquoi se contenter de médiocre quand on peut faire mieux? Pourquoi ne pas être aussi gastronome en camping qu’on l’est en ville? La dernière fois que nous sommes partis, il a donc fait un menu à faire saliver, du préfait pour la fin de semaine, qu’il a mis dans des sacs sous vide. Bon, il faut avoir le matériel, mais rien de mieux qu’un bon steak et du vin blanc à la belle étoile, n’est-ce-pas? Évidemment, tout dépend du nombre de jours de l'escapade. Pour une fin de semaine, on peut s'en permettre davantage!

4- Les cossins essentiels

Le chasse-moustique est au camping ce que la pagaie est à son canot. N’oubliez surtout pas la Watkins… Crème solaire, kit de jour, kit de nuit, lunettes solaires, souliers d’eau, polar, oreiller… Le tout dans des barils ou bien dans des sacs-au-sec et vous serez comblés! Ce qui est bien du canot, c'est qu'on ne traîne pas nos bagages sur notre dos comme en randonnée, on peut donc s'en permettre un peu plus, juste le nécessaire pour être bien.

François Léger Savard, Photographe
Crédit: François Léger Savard, Photographe

5- Un beau groupe d’amis

Évidemment, vous devez être un nombre pair. Ensuite, il suffit d’être certain que tout le monde s’entendra à merveille et vous aurez le plus beau week-end du monde. Aucun appareil électronique, la nature, l’air pur, et voilà, ce n'est pas plus compliqué que ça! Sortir du train-train de la ville ne peut que faire du bien!

François Léger Savard, Photographe
Crédit: François Léger Savard, Photographe

L’été au Québec, ça a son charme! <3

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