Pour lire le début du récit de mon séjour à Trois-Rivières, c'est ICI. Voici la suite, soit notre fin de journée/soirée du samedi!
Tout d’abord, on s’est arrêtés chez Le temps d’une pinte, question de découvrir les bières brassées sur place. Sébastien, co-propriétaire, a pris le temps de nous parler de l’établissement, de leurs projets futurs et de nous suggérer des bières qui nous plairaient. Perso, je commence tout juste à aimer la bière et j’ai un peu de difficulté avec les bières au goût très prononcé. Il m’a donc proposé leur blanche maison, que j’ai beaucoup appréciée. Dominique, plus fan que moi, a essayé leur IPA. On s’est installés sur leur terrasse qui m’a rappelé les fameux biergartens allemands. Par la suite, on s’est installés au bar avec vue sur la cuisine pour l’apéro. Au menu : carpaccio de bœuf et un plateau à partager composé d’un arancini, d’un scotch egg et de malakoff (fromage frit sur un croûton). Tout était délicieux, c’est exactement le genre de bouffe qu’on aime grignoter pendant une soirée entre amis au bar et qui ne déçoit pas. Mon coup de cœur va aux malakoffs, mais ça c’est parce que c’est l'amatrice de fromage en moi qui parle.
Après une courte pause à l’hôtel, nous sommes allés souper au Buck, un pub gastronomique en collaboration avec la micro-brasserie le Trou du diable dans le vieux Trois-Rivières. Ce que ça veut dire, c’est que c’est un deux-en-un. On a le côté pub avec le Trou du diable et le côté resto gastronomique par le Buck. La carte propose une variété de plats inspirés du terroir québécois, on inclut un maximum de produits locaux, les serveurs sont attentifs et c’était rempli. Il faut dire qu’on a été accueillis sur la terrasse pour le lancement d’une nouvelle bière signée le Trou du diable avec bar à huîtres (miaaaam) et musique live avant de s’installer au resto pour le souper. J’ai choisi les pétoncles, qui étaient parfaits. Dominique a essayé le filet mignon de cerf, tendre à souhait. Le tout était accompagné de légumes, les portions sont copieuses et, bref, on a vraiment aimé notre expérience.
Pour terminer, nous sommes allés retrouver Martin, co-propriétaire de La maison de débauches par le Carlito, pour le digestif et le dessert. Il y avait beaucoup d’ambiance samedi soir, avec un DJ qui jouait des hits des années 80. Ce que j’ai remarqué en premier, c’est que l’endroit est immense. Ça semble idéal pour organiser une sortie d’équipe de bureau, un party de Noël, etc. Ensuite, le menu rassemble plusieurs classiques : burgers, pizzas au four à bois, tartares et différentes options de plats allant des gnocchis aux champignons au filet mignon. Côté dessert, on nous a proposé de goûter un peu à tout avec un plateau regroupant des mini-formats des desserts : poutine dessert composée de churros maison, bleuets, mini-guimauves et sauce maison au chocolat avec une pointe de sriracha, gâteau aux fraises et pistaches, brownie avec glace à la vanille maison (qui semblait faite avec de la crème 80% - décadent) en plus d’une crème brûlée avec biscuit double-chocolat. Ici, le nom de l’établissement est approprié. Je suis aussi très curieuse de leur concept de ripaille (soit orgie de bouffe) qui s’adresse aux groupes d’au moins 10 personnes et propose, pour 50$ par personne, l’entrée, plat, dessert et surprises. Il faudra que j’y retourne en gang, je pense!
Je vous reviens d’ici quelques jours pour la 3e et dernière partie du séjour, car notre dimanche a été rempli d'activités!