Le décompte des vacances du temps des fêtes a commencé: il reste moins d'un mois avant qu'on ne chante autour d'un sapin de Noël en famille. Quand j'en parle avec mes amis, je les entends me dire leurs milles plans de voyages, d'activités, de sorties et j'en passe. De mon côté, j'ai eu un automne tellement chargé que je n'ose pas faire un plan de plus que les fêtes avec mes familles (mes deux côtés et celles de mon amoureux). Je rêve, pas si secrètement, du moment où je n'aurai pas de réveille-matin et où je pourrai me réveiller en plein milieu de la matinée en voyant des flocons tomber. Sans horaire, je pourrai me vêtir de mes vêtements de course extérieurs pour aller m'entraîner avec le vent froid en plein visage et ensuite me rendre chez mes parents une petite heure pour manger un croissant. Ça sonne comme un plan parfait pour moi. Moi qui normalement ai un agenda plus rempli que celui d'un premier ministre (j'exagère à peine), je veux que le mien soit le plus blanc possible. Et je me dis que c'est correct ainsi.

Mon plan du temps des fêtes serait de ne rien faire ou en faire le moins possible selon mes envies quotidiennes. Est-ce ok? Selon moi, oui.

Mon objectif n'est pas ici de me plaindre. Je travaille fort parce que j'adore mon emploi. Mais comme pour tout le monde, il arrive que ce soit trop. Et cet automne, ce fut intense entre les changements de personnel au sein de Codmorse, l'achat de mon triplex, le déménagement de la mère de mon conjoint, les projets spéciaux et les voyages, je me suis sentie comme une poule pas de tête. D'ailleurs, en parlant avec ma mère qui me demandait de trouver des vêtements pour offrir à un organisme, elle m'a dit « en ce moment, tu montes un volcan professionnellement ». Et j'ai adoré l'image. Au lieu de me décourager, ça m'a rappelé que je suis celle qui monte des volcans avec le sourire et l'envie grandissante d'en faire toujours plus. Et ça m'a rappelé que j'en ai toujours voulu plus dans la vie autant dans les loisirs qu'au travail. Pourquoi là c'est trop? Je ne sais pas.

Mais je me dis que j'ai le droit. Et que je dois donc m'arrêter un peu. Ainsi, je suis chanceuse: Noël approche, ce sera le moment parfait de ralentir en pyjama!

camille dg pyjama gris loews hôtel vogue

Pour illustrer le tout, voici donc un look dans un pyjama gris. C'est exactement le pyjama que je vais porter lorsque je vais aller dormir chez ma tante ou chez d'autres personnes. Je l'aime comme il est confortable tout en demeurant neutre. Il sera le bon choix peu importe où je serai!

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Le look:

Pyjama - La Vie en Rose

Lunettes - Iris

Lieu - Loews Hôtel Vogue

Photos - Claudia Morin-Arbour

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