2021 a marqué une année pleine de changements pour moi. Aucunement comparable à toute autre année. C’était une année de premières fois, dans plusieurs sphères de ma vie, certaines plus importantes que d’autres. Un nouveau-né, une nouvelle maison (OK achetée en 2019, mais on a dû la rénover au complet en 2020 et 2021 suite à un dégât d’eau) et, une chose qui était aussi totalement nouvelle, j’ai eu ma première voiture à moi toute seule. Je sais, 34 ans, ça peut paraître vieux pour certains, mais ayant toujours vécu en ville et sans enfants, je n’en voyais pas la nécessité et j’aimais me dire que j’aidais l’environnement.
Le festival des premières fois…
Ça a donné lieu à beaucoup de premières fois aussi. Je n’avais jamais eu peur de manquer d'essence quand je prenais le volant. Je n’avais jamais offert de conduire une amie quelque part. Je n’avais jamais pu aller voir mes grands-parents sans emprunter la voiture de quelqu’un. Je n’avais jamais eu à conduire avec un bébé qui pleure à pleins poumons ni à conduire en silence complet, avec un bébé qui dort enfin ! J’ai découvert la vie avec voiture, disons… et, on ne va pas se mentir, le sentiment de liberté que ça peut parfois procurer!
Ça a aussi été mon premier hiver sur la route. Mon premier vrai, du moins, où j’ai une auto que je prends fréquemment. Avant, quand il faisait tempête, ou quand c’était glacé dehors, je ne m’en rendais pas toujours compte. Je pouvais compter sur Marc, mon copain, ou appeler un taxi pour me déplacer dans la ville. Mais avec ma nouvelle auto (et autonomie !), j’ai dû m’adapter à la conduite hivernale, peu importe le moment… et j’y ai même pris goût !
Un rendez-vous chez le médecin qu’on ne peut pas rater même si ce n’est pas déneigé ou un frigo à remplir parce qu’on n’est pas allé faire l’épicerie encore cette semaine : pas le choix, on doit s’adapter aux conditions et on fait preuve de prudence. Avec un bébé à l’arrière, sur une route glacée, le stress prend le contrôle et je devenais hyper vigilante durant mon trajet. La sécurité avant tout, surtout que je ne suis pas une conductrice qui accumule les années d’expérience. Heureusement, j’étais au volant d’un véhicule sécuritaire. Bien entendu, l’habitude de conduire dans des conditions hivernales a finalement réussi à s’installer en février dernier.
Qu’est-ce que ma Mitsubishi Outlander 2022 me permettait cet hiver ?
- La fonction de conduite de neige
Quand on doit traverser des régions moins bien déneigées, on ne veut pas que la voiture parte dans tous les sens. Outlander propose un système avec divers modes de conduite comme le tarmac… mais aussi la fonction neige. Cette dernière est fort utile pour que le véhicule conserve sa trajectoire, peu importe la glace. De plus, pour se sortir d’un banc de neige, ça donne un bon coup de pouce. J’ai eu à l’utiliser plusieurs fois cet hiver et on voit facilement la différence.
- Bancs chauffants à l’avant… et à l’arrière !
Quand on monte en voiture, on sait que les bancs avant seront souvent chauffants… mais je ne m’attendais pas à ce qu’il en soit de même pour les bancs à l’arrière. Certes, ça ne sert à rien pour mon bébé qui est dans son siège, mais quand mon copain conduisait et que je restais à l’arrière avec Paul, j’ai grandement apprécié ce détail.
- L’aide avec les caméras tout autour de la voiture
Quand on tente de se stationner entre des bancs de neige, croyez-moi que d’avoir des caméras qui nous permettent de voir l’avant, l’arrière et l’auto à vue d’avion ça aide grandement à savoir où l’on va. J’ai grandement apprécié cela.
Avec les conditions routières en nette amélioration avec le printemps qui pointe le bout de son nez sur la couronne montréalaise depuis quelques semaines, je peux dire que je reprends encore plus confiance en ma conduite. Je suis aussi beaucoup plus excitée de prendre le volant et de partir à l’aventure (ou aux commissions) avec ma famille !