(Je vous jure que je n’ai même pas été commanditée!)

Maintenant que j’ai réussi à convertir toute ma famille et que depuis, chaque année, au moins un morceau se retrouve sous la sapin pour l’échange à Noël, je suis prête à exposer cet amour publiquement: je suis complètement accro aux vêtements en mérinos! Lors de mon premier essai, j’avais encore la croyance que je me passerais de la laine d’acier sur le dos. C’est donc à contrecœur que j’enfilai le chandail prêté par un ami lors d'une activité en plein air. Je fus si confuse et étonnée du confort du tissu que je dus reconfirmer que j’avais bel et bien un gilet de laine sur le dos et revérifiai même l’étiquette pour m’en assurer. Quelque jours plus tard, j’accourais au magasin pour m’en procurer un. Depuis, j’ai même organisé une rencontre avec ces précieux moutons lors d’un voyage en Océanie… ce n’est pas peu dire!

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Pour ceux qui se le demandent, le mérinos est en fait une race de moutons très robustes originaires de l’Espagne qu’on retrouve principalement en Nouvelle-Zélande. C’est d’ailleurs en terre néo-zélandaise qu’est née l’idée de la maintenant très reconnue compagnie Ice Breaker. À la fin des années 90, le fondateur Jeremy Bloom, âgé de seulement 24 ans, chercha à exploiter la texture douce et les propriétés isolantes de la laine des mérinos pour créer une nouvelle technologie de vêtements d’extérieur faits à base de matière naturelle. Aujourd’hui, leurs produits voyagent à travers le monde et ont incité d’autres compagnies à faire de même.

Je vous entends déjà dire : «Mais ça coûte tellement cher et ça dure bien moins longtemps que le synthétique!»

Oui. C’est pourquoi c’est une excellente suggestion de cadeau à ajouter sur votre liste pour rendre vos sorties hivernales encore plus agréables cette année. Sinon, personnellement, je préfère investir un peu plus dans quelques très bons morceaux qui rendront mon sport plus confortable et agréable. Pour ce qui est de la durabilité, juste en évitant de mettre le tout à la sécheuse, on les abime moins rapidement et surtout, de ne pas avoir à les laver nécessairement après chaque utilisation nous permet de les conserver encore plus longtemps… Car oui, c’est impressionnant à quel point ÇA NE PUE JAMAIS!

En plus, si vous aviez envie de l’essayer pour moins cher, vous pourrez trouver des chandails 100% mérinos à 20$ dans un Costco près de chez vous! Pour les avoir essayés, ils durent peut-être un peu moins longtemps que les grandes marques, mais ils font vraiment l’affaire!

J’ai testé un morceau à la fois et jusqu’à maintenant, j’ai du bien à dire de chaque morceau! (Je vous avais prévenu que j’étais un peu trop passionnée!) Entre autres, le chandail respirant devient indispensable de l’automne au printemps à utiliser comme première couche au corps dans la technique «pelures d’oignions». La combinaison du bas, mince et extensible, se camoufle parfaitement sous un jeans ou peut se porter sous un pantalon de sport lors des courses au grand froid. Le cache-cou, lui, est idéal pour les asthmatiques comme moi pour bien respirer durant l’effort malgré le vent glacial.

Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, la laine sert aussi en été. Les bas permettent de faire des randonnées plus au sec et sans odeur durant les quatre saisons et même chose pour la camisole que j’utilise beaucoup en voyage.

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Mon coup de cœur? LES BOBETTES EN MÉRINOS… C’est la vie!!! Ça me sauve littéralement les fesses en hiver, mais surtout, c’est ma nouvelle solution pour rendre les trop longs vols d’avion plus hygiéniques et confortables.

En attendant d’être élue porte parole officielle : Mérinos, je t’aime!

Et peut-être ces moutons sauront-ils garder votre cœur au chaud aussi cet hiver!

Source image de couverture: Pexels
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