Lorsque j’allais à l’Université de Montréal, mes amis de la grande ville me demandaient sans cesse pourquoi je n’habitais pas dans la métropole. La raison est simple : je suis né sur la Rive-Sud et j’ai grandi sur la Rive-Sud. Évidemment, j’aurais pu loger dans un appartement ou dans une chambre pendant mes études universitaires, mais j’ai décidé de rester dans mon patelin. Les désavantages étaient que de me rendre au centre-ville de Montréal me prenait au moins une heure de transport et que j’ai plus difficilement accès à la vie culturelle qui se trouve sur l’île de Montréal. Toutefois, j’ai toujours préféré rester dans ma ville natale. J’ai ainsi découvert différents avantages à vivre hors de Montréal.

Les cours et les piscines

Ce n’est pas très compliqué : chez moi, il y a une cour à l’avant et une cour à l’arrière avec du gazon partout. Le terrain arrière a suffisamment de place pour un jardin, pour faire un feu en soirée, pour une terrasse et même pour une piscine creusée. Pas besoin d’aller à la piscine la plus près de chez moi pour se baigner avec des centaines d’inconnus. Je peux me baigner chez moi quand je veux, sans avoir de contraintes avec les horaires des piscines publiques.

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Les pistes cyclables

Je trouve qu’il est préférable de faire du vélo en banlieue pour avoir de la tranquillité et pour pouvoir admirer le paysage. Dans mon coin, il y a la piste cyclable du Canal de Beauharnois, qui s’étend de la ville de Beauharnois jusqu’à la Baie Hungry, à Saint-Stanislas-de-Kostka. Il y a également la piste cyclable Soulanges qui part de Pointe-des-Cascades jusqu’à Rivière-Beaudette. Ce que j’adore, c’est le fait de pouvoir être dans la nature tout en faisant de l’activité physique.

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Vivre dans le plein air

Le plein air est bon pour la santé. Grâce à ma vie en banlieue, je peux faire de la marche en forêt : le parc-nature Bois Robert et le refuge faunique Marguerite-D’Youville sont deux endroits magnifiques. Pour les adeptes de randonnée en montagne, le mont Rigaud et le mont Saint-Hilaire sont des endroits très courtisés. Aussi, pourquoi ne pas faire du camping sous la belle étoile pendant les chaudes soirées du mois de juillet et du mois d’août? À la campagne, c’est possible de faire ça.

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Les activités à proximité de la nature

Pendant l’été, nous pouvons faire toutes sortes d’activités tout en étant près de la nature. Il y a notamment la possibilité d’explorer le labyrinthe de maïs géant du Verger Labonté (ouvert à partir de la fin août), aller à la plage dont celle de Saint-Zotique et celle du Parc régional des Îles-de-Saint-Timothée, faire un pique-nique sur l’île Saint-Bernard, visiter le lieu historique national de la Bataille-de-la-Châteauguay ou le site archéologique Droulers-Tsiionhiakwatha, ou encore se promener en voiture pour contempler la beauté de la nature qui regorge de champs, de rivières et de forêts.

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Il y a tellement d’avantages et de bons côtés à habiter sur la Rive-Sud pendant l’été. Mise à part ces bienfaits à habiter en banlieue et en campagne l’été, connaissez-vous d’autres avantages pour contrer ceux d’habiter dans les grandes villes?

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