Être seule et bien avec soi… ça n’a pas de prix!

On dit souvent « vaut mieux être seul(e) que mal accompagné(e) ». Même si ça ne nous plaît pas toujours de l’entendre, c’est une petite phrase remplie d’une grande sagesse. Perso, quand on me l’a sortait il y a quelques temps, j’étais moi-même du genre à me dire dans ma tête : bla bla bla bla. Tu me diras : mais c’est tellement plus facile à dire qu’à faire! Tu as bien raison.

Toutefois, vaut mieux rester fidèle à soi-même et se respecter que de rester avec une personne qui, elle, ne nous respecte pas. Notre énergie vitale est précieuse et si elle tombe entre les mains d’une personne malsaine, c’est certain qu’on n’accédera pas au bonheur, même en étant accompagné(e).

Même si on pense que le bonheur ça implique absolument un ou une partenaire, ça peut être le cas! Mais d’abord, je crois qu’il faut être bien avec soi-même et ne pas craindre la solitude. Du moins, ne pas la voir comme notre pire ennemi c’est un très bon départ, car la solitude peut être une alliée de taille face aux personnes indésirables (un genre pouish pouish anti-tannant(e)s!).

Source: Pexel

Si tu es bien avec toi-même, à ton boulot, avec ton réseau d’ami(e)s, avec tes passions, et dans l’ensemble des sphères de ta vie, il est fort possible que tu ne ressentes plus le besoin absolu d’être aux côtés de quelqu’un, et ce, peu importe qui est ce quelqu’un… genre, avoir une personne dans ta vie, et ce, à tout prix, ça risque de ne plus t’intéresser.

Le célibat m’apprend doucement ces leçons de vie. Je ne suis pas une grande sage, ni une psychologue de renom. Je suis toutefois une jeune femme qui adore apprendre (se planter, enfin, surtout se relever!) et devenir plus forte à chaque chute. Je comprends que l’essentiel est de s’apprivoiser, de se donner du temps pour soi, pour prendre soin de soi. Je comprends que je tripe ben plus que j’aurais pu le penser à sortir seule au cinéma et brailler ma vie (en paix!) devant un film quétaine, que j’adore aller écrire dans une brûlerie (me, myself and my pencil) avec un bon latté pour me réchauffer (en plus, je peux reluquer, encore une fois en paix, les cuties baristas de la place), que j’aime beaucoup revenir d’une soirée entre amis et dormir collée avec mon chat qui ronronne sa vie (kitch à mort, je sais, et j’assume en plus!). Si tu es un peu comme moi, ou même si tu n’es pas comme moi du tout, j’espère que mes mots t’apporteront un petit quelque chose.  Et si tu es seul(e) pour la fête des petits cœurs à la cannelle, sache bien que… tu n’es pas seul(e) à être seul(e)!