Dépendante de télévision, je plaide coupable. Coupable au point où je me suis abonnée à Amazon Prime Video juste pour ces deux séries que j’ai finies en moins de trois jours et littéralement, ce temps de visionnement est un record pour moi! Parlons sérieusement que ces deux séries qui sont, à la base des livres adaptés à l’écran, géniales et que la vie n’est plus la même après.

Ok, j’arrête de vous torturer pour vous présenter la première série se nommant Daisy Jones & The Six. Écrit par Taylor Jenkins Reid et adaptée à l’écran avec oui, des différences entre l’adaptation et le roman, mais quels romans adaptés au grand écran n’a pas subi de variations dans l’histoire, hein? Malgré ce fait très minime, on plonge facilement à plein nez dans le Sexe, drogue et Rock N Roll des années 70 grâce à l’histoire et à la musique très teintée de l’œuvre qu’est Fleetwood Mac.

Aussi, grâce aux décors d’époque reproduits, aux costumes vintage, très bohèmes rappelant les grands noms de cette époque musicale, mais également et sans doute grâce à ces acteurs que sont Riley Keough (Daisy Jones, chanteuse), Sam Claflin (Billy Dunne, chanteur et fondateur du groupe), Suki Waterhouse ( claviériste Karen Sirko), Camila Morrone (Camila Alvarez, épouse de Billy et photographe), Will Harrison(Graham, frère de Billy et guitariste), Sebastian Chacon (Warren Rhodes ,drummer,), Josh Whitehouse (Eddie Roundtree, baseman), Tom Right (Teddy Price, producteur) et Nabiyah Be (Simone Jackson, meilleure amie de Daisy et chanteuse ) entre autres que le groupe Daisy Jones and The Six prendra vie seulement pour nous. Suivons cette famille musicale chamboulée personnellement ainsi que professionnellement parlant qui, en pleine gloire avec leur album Aurora, mettra fin abruptement à la fin de leur tournée, à la carrière si prometteuse, si jeune, si tumultueuse et si proche dont tous rêvaient.

La seconde série que j’ai dévorée dont la saison 3 est à venir est The Summer I Turned Pretty (L’Été où je suis devenue jolie, en français), racontant l’histoire d’Isabel Conklin alias Belly (Lola Tung), une jeune fille qui passe presque tous ces étés à Cousin’s Beach entourée de son frère Steven (Sean Kaufman), sa mère (Jackie Chung), Susannah (Rachel Blanchard)(l’amie de la mère de Belly) ainsi que les fils de Susannah : Jeremiah (Gavin Casalegno) et Conrad Fisher (Christopher Briney). Belly, du haut de ces 16 ans, à l’intention de faire en sorte que cet été soit différent des autres en déclarant l’amour qu’elle porte depuis l’âge de 10 ans, à Conrad, mais tout en ne se doutant pas que l’amour est compliqué et que l’avenir avait déjà prévu son lot d’imprévisibilités à venir menaçant ainsi la magie et l’harmonie de la maison au bord de la plage. Écrit par Jenny Han avec sa plume qui a le don de nous faire ressentir l’adolescence/le début de l’âge adulte comme si nous y étions, dans toutes ses qualités et ses défauts. Ses premières fois, ses souvenirs d’été, la magie de l’innocence, dès les premières secondes du visionnement, on s’en imprègne, se les remémores et c’est tout ce dont on veut revivre encore et encore.

À la fois différentes, mais pareilles, ces deux séries sont synonymes de la chanson du groupe Bleachers Rollercoaster. Et même si les moments les plus difficiles ont l’air infranchissables, ils le sont et ils sont davantage lorsqu’on est entouré de gens qui nous font sentir bien.
Image de couverture de Glenn Carstens-Peters
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