Comme le dit si bien notre collabo Maude : "C'est rendu que je rêve de déneiger une voiture. Pelleter pis me stationner en parallèle dans une pente me font fantasmer."

Pis je la comprends. J’aime autant l’hiver qu’un chat que tu lances dans un bain plein d’eau. Ma relation avec cette saison ne s’est clairement pas améliorée depuis que j’habite en ville et que je côtoie les transports en commun. Pour l’amour du Saint-Ciel, je te demande de prendre connaissance des 10 choses suivantes, ce sont tous des points que tu dois éviter dans les transports en commun lorsqu’il fait frette. Ça va rendre ma journée beaucoup plus agréable et diminuer les risques que je lance mon café sur ton Canada Goose ou ta sacoche Michael Kors.

  1. Tes bottes pleines de calcium n’ont pas besoin d’un siège. Jamais.
  2. Les manteaux n’aident fuck all pas à savoir si la femme devant toi est enceinte d’un gars, d’une fille, de jumeaux ou d’un burger, laisse-lui ton siège pareil.
  3. Si tu paies ton billet de bus en petit change, prépare-le d’avance, seigneur. C’est chiant attendre en ligne dehors à -25.
  4. Si t’as la grippe et que tu t’essuies la morve du nez avec ta mitaine, cr*ss, change de main pour te tenir sur le poteau.
  5. Tu t’appuies de tout ton long sur le poteau ? Fine. Mais si je dois me retenir sur ton foulard pis t’étouffer lorsque le métro break sec, not my problem.

Source : Giphy

  1. C’est déjà frustrant de devoir mettre son sac à ses pieds pour faire de la place pis le reprendre humide pis plein de sel, ça ne me tente pas que quelqu’un marche dessus parce que tu pousses tout le monde afin de rentrer dans le bus déjà f*cking trop plein.
  2. Admettons que t’es devant les portes, regarde donc derrière toi quand elles s’ouvrent. Y’a toujours quelqu’un qui veut sortir, mais tu bloques le chemin. Comme manger mexicain, ça fait chier.
  3. Y fait aussi chaud dans le métro qu’entre les cuisses d’une matante dans un party de Noël. Si t’enlèves ton coat, ta tuque, ton foulard, tes mitaines pis tes culottes de neige, ne prends pas les autres pour des porte-manteaux.
  4. Ça ne sert à rien de rester en tapon dans l’entrée du bus. C’est rare que quelqu’un va dire ça, mais une fois que t’es rentré, va le plus profond que tu peux. Merci.
  5. T’es capable de dire « Merci » pis « Bonne journée » au conducteur ou conductrice qui passe sa journée dans les rues mal déneigées de Montréal et qui t’évite de te geler le tampon quand tu dois marcher 15 minutes pour aller au métro.

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