Cet article s’adresse principalement aux mamans, mais aussi à toutes les personnes qui ont un petit bébé dans leur entourage. Vous allez reconnaître les comportements décrits ici-bas, qui font parfois rager, parfois rire mais souvent sourire. Entre un an et deux ans, l’enfant évolue tellement et est en grande quête d’autonomie. Il veut être capable tout seul, parfois avec plus ou moins de succès (moins de repas dans la bouche, et plus sur le plancher). Il veut parler et s’exprimer, et est particulièrement insulté quand maman et papa ne comprennent pas ce qu’il veut leur dire. Il commence à avoir une opinion, à exprimer sa possession. Mais surtout, il tente tant bien que mal de gérer ses émotions, sa colère, sa tristesse, sa frustration et sa joie.
Source: Over-blog
Ma Juliette a présentement 22 mois, et je ne considère pas cette période comme le « Terrible two ». Bien sûr, cette période met parfois notre patience à l’épreuve, tout comme notre plancher fraîchement lavé, mais cela donne le plus souvent lieu à des moments de profond émerveillement et de grande fierté. Lorsqu’on est parents, chaque première fois est jour de fête (sans exagérer, vous seriez surpris devant quoi on s’exclame avec nos grands WOW et YEAH comme si c’était la nouvelle merveille du monde).
Bien sûr, il y a des jours qui sont moins faciles que d’autres (allo le bol complet de couscous par terre, ou bien la crise de bacon au milieu de la cuisine parce qu’elle était tellement insultée de se faire proposer une pomme alors qu’elle voulait un biscuit). Si vous saviez comment, en tant que parent, on se parle dans des moments comme ça. Petit truc : lui laissez le temps de vivre son émotion. Par exemple: « Juliette, calme-toi mon amour et quand tu seras prête, viens trouver maman dans le salon. » Ce n’est pas une recette infaillible, mais avec ma fille, ça marche lorsqu’elle se rend compte que sa crise ne lui apporte ni attention, ni câlins, ni ce pourquoi elle est en colère initialement.
Le manger ou le jeter par terre, gros dilemme!
Élever un enfant, ça demande de la rigueur, de la patience et surtout, plein d’amour. Pour les mamans lectrices du Cahier, je ne suis pas inquiète, vos petits doivent en être inondés!