Avec la pandémie, beaucoup de nouveaux changements sont arrivés subitement. Certains de ceux-ci ont eu du bon, comme de nous apporter du temps pour découvrir des vieilles ou de nouvelles passions, apprendre de nouvelles de choses, faire le ménage dans les gens que l’ont veut garder dans nos vies. Cela m’a aussi apporté de faire une introspection sur moi-même grâce à la publication Instagram de @alexemusique.

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Cette publication date du 19 janvier dernier et elle disait, en début de texte, qu’elle avait de la misère avec la constance, car elle commence plein de choses sans les finir. Quand j’ai lu ça, je me suis dit qu’elle me résumait, car je suis aussi comme ça. Le meilleur pour vous illustrer ce point est le fait que j’adore lire et que lorsque je commence un livre, il faut aussi que j’en commence un deuxième et un troisième sans les finir la même année où je les ai commencés. En tant que tel, commencer beaucoup de projets n’est pas négatif en soi, mais ne pas les finir, oui. Je dois travailler sur ce point en essayant de ne pas en commencer trop à la fois pour finalement les finir un après l’autre.

La seconde partie de cette publication d’Alexe disait qu’elle avait aussi de la difficulté à persévérer quand elle n’était pas bonne instantanément. J’ai aussi ce côté en moi qui fait en sorte que j’abandonne après un certain temps. Ce fut d’ailleurs le cas lorsque je jouais du piano. Je voulais être bonne là, maintenant, sans pratiquer et devoir fournir des efforts. Ma mère et mon beau-père m’ont souvent dit que ce côté me faisait ressembler à mon père, ce qui est assez négatif à entendre dans mes oreilles. Me faire dire cela n’est pas agréable. J’ai toujours dit ne pas vouloir lui ressembler et le fait de me faire dire que je fais comme lui me donne envie de faire tout pour ne pas lui ressembler. Pour corriger cela, je dois trouver la motivation qui fera en sorte que je n’abandonnerai pas facilement.

ne pas abandonner bureau Source image : Unsplash 

Mon troisième et dernier point est la peur. J’ai peur de beaucoup et je me stresse en pensant à tout ce qui peut arriver de pire ou de négatif dans trop de situations. Ce côté aussi, ma mère et mon beau-père l’ont remarqué et m’ont dit de ne pas toujours m’écouter, mais je n’ai pas vraiment appliqué ce dire. Pour beaucoup, je m’écoute et je sais que je ne devrais pas, car cela peut me faire rater des occasions. Je dois, pour arriver à arrêter de stresser avec les scénarios, prendre le contrôle de ma tête et me dire que s’il n’y a aucun danger pour ma vie, de foncer, car plus souvent, il s’agit de belles ou de cocasses situations.

Je sais quoi faire pour les travailler, il faut seulement m’y mettre en trouvant la volonté de le faire. Je sais que je ne suis pas la seule avec certains de ces côtés à travailler et je sais que cela ne se fait pas en un claquement de doigts. Donc, pour nous motiver, voici la chanson Keep Your Head Up d’Andy Grammer.

Source image de couverture : Unsplash 
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