À toi qui a vécu embuches et épreuves. À toi qui l’a pas eu facile. Ou à toi qui sait très bien comme moi que y’a des moments dans vie où c’est pas mal difficile de garder un sourire dans face. Peu importe qui tu es, tu as ton histoire, ton vécu moins rose. Eh bien aujourd’hui, j’écris en l’honneur de ton courage. En l’honneur de la nouvelle personne que tu es devenue, grâce à ces moments inconfortables, difficiles. Et si en ce moment c’est though pour toi, n'hésite pas à en parler, à demander de l’aide. La travailleuse sociale en moi insiste là-dessus ! En espérant que ce texte te fera du bien.

levé du soleil Source image : Pexels

Il y a des jours où je me suis plainte, où j’ai chialé, où j’ai pleuré. Eh oui ! C’était parce que ce que je vivais était vraiment inconfortable ! Des situations où j’ai dû foncer la tête dans le vide, ne sachant pas ce qui m’attendait. Des moments où j’ai dû mettre de côté mon petit confort, ma petite ouate et prendre mon courage à deux mains. Ces moments-là, aujourd’hui, je suis reconnaissante de les avoir vécus. Les malaises, la douleur m’ont fait persévérer, ils m’ont fait foncer plus que je n’aurais pu l’espérer si ces embuches ne s’étaient pas présentées à moi. C’est grâce à tout ça que j’ai pris des risques (tant qu’à être inconfortable, je vais me lancer à fond dans l’inconnu !). C’est grâce à tout ça que j’ai entrepris des projets et des études. Que je me suis vraiment donnée, pour voir jusqu’où je pouvais aller. C’est parce que j’ai vécu l’inconfort en amour, en amitié, au travail, à l’école, en beaucoup de sphères que je me suis permise de trébucher encore plus, pour mieux me relever et atteindre les buts que je m’étais donnée. Les malaises et les épreuves m’ont aidée à m’en demander plus à moi-même, à me prouver ma volonté et à forger ma force. Alors à toi qui a trébuché ou qui s’enfarge en ce moment, je te dis : keep going ! Ça prend des défis pour se surpasser et aller vers le meilleur de soi. Dis-toi que tout peut s’arranger et tout peut devenir une occasion spéciale. Il faut juste se permettre d’y croire.

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