Entre prendre la route seule ou prendre la route avec un bébé, il y a tout un monde de différence. Rapidement, les habitudes se forment derrière le volant, pour que chaque sortie soit plus simple que la précédente. Avec le temps, j'ai su identifier les cinq éléments clés qui me permettent de garder même les trajets les plus longs sous contrôle.

1) Une auto pensée pour la famille, c'est un grand plus

Avec le sac à couches, le parc portatif et la grosse poussette, je me suis rendu compte que dans un petite voiture de ville, je manquerais rapidement d'espace. Mon auto, c'est une vraie voiture de maman, peut=être pas assez grande pour une future équipe de soccer, mais suffisamment pour ne pas se sentir à l'étroit assis à l'arrière avec le siège de bébé. Je conduis une Mitsubishi Outlander 2022, qui totalise quand même 120 pieds cube d'habitacle!

C'est pensé pour la famille : la voiture a plusieurs fonctionnalités qui donnent un précieux coup de main comme un coffre automatique pour quand j'ai les mains pleines avec bébé ou le rappel automatique qui s'active si je m'éloigne du véhicule en laissant Paul à l'arrière. Au niveau de la sécurité, on comprend vraiment pourquoi ce véhicule est idéal pour une maman. On y retrouve de multiples caméras de recul, qui permettent de garder un oeil sur tout ce qui se trouve autour, sans quitter la route des yeux.

2) Le bon siège, bien installé et le bébé bien attaché

Mon petit coeur de maman se serre à la simple idée d'un accident de la route qui pourrait avoir des conséquences permanentes sur Paul. Comme je préfère grandement prévenir, plutôt que de guérir, je me suis assurée d'avoir le siège d'auto le plus sécuritaire possible pour lui. J'ai opté pour le modèle RAVA de Nuna comme je voulais un modèle qui pourrait grandir avec lui et qui se déplace facilement dans le véhicule de papa si nécessaire.

On ne se mentira pas, c'est une grosse pièce solide qui prend beaucoup d'espace et je n'aurais pas pu l'utiliser aussi librement dans un véhicule avec moins d'espace dans l'habitacle, ce qui rend le siège utilisable de dos et de face.

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3) J'ai toujours des jouets avec moi... et des couches!

Quand on part en voiture avec un petit, on s'assure qu'on pourra le divertir au besoin que ce soit avec un hochet, des craquelins ou des jouets. Je m'assure donc d'avoir tout ce dont il pourrait avoir envie devant lui avant de démarrer. Ça me permet d'avoir l'esprit plus tranquille pendant que je conduit. Le nécessaire, ça peut être une couche de plus, au cas où. Ça peut aussi être une collation supplémentaire ou une paire de pantalons propres. Un accident est si vite arrivé.

4) La musique, c'est pour Paul

La musique, c'est une des choses qui fait sourire Paul le plus... et qui l'endort aussi selon les moments!

Ensemble, on écoute toujours de la musique qui nous met toutes les deux de bonne humeur, mais aussi qui le garde éveillé et allumé. Ça nous permet d'éviter qu'il s'endorme sur la route et dérègle son horaire de dodo.

À l'opposé, si nous sommes sur la route à l'heure où Paul devrait faire sa sieste ou devrait déjà être au lit : je mets des chansons qui vont le calmer et l'apaiser. On le laisse se faire bercer par les vibrations de la voiture et somnoler un peu, le temps qu'on arrive à destination. Directement, vous aurez en tête l'image des parents qui font le tour du quartier en voiture pour aider leur petit à s'endormir. Vous aurez vu juste, ce n'est pas faux! Ainsi, je suis bien heureuse que ma Mitsubishi Outlander soit super confortable puisque ça ne me dérange pas d'y être assise pendant que Paul dort. Ceux qui suivent mes stories, vous m'avez souvent vue en auto pendant les siestes à vous jaser. Je traine donc mon ordinateur et je travaille en l'ayant sur les genoux!

5) Prudence

On devrait toujours être prudent quand on conduit, mais encore plus quand on le fait avec un bébé à bord. Je trouvais auparavant les collants à l'arrière des voitures un peu rigolos, maintenant, on dirait que je les comprends. Avec ma Mitsubishi Outlander 2022, je suis encore plus en sécurité puisque je sais que l'auto est aussi là pour moi.

Laissez-moi vous raconter le jour de mon accouchement, enfin, la veille. Mon copain et moi, on allait souper en ville. On prend donc le pont Jacques-Cartier pour se rendre au restaurant le Bivouac au quartier des spectacles. Sur le pont, une voiture nous coupe. Marc veut freiner, mais c'est limite en titi. TANG! La voiture a freinée pour nous et nous a empêchés de faire un accident. J'éclate en sanglots. Le stress. Je me savais à 36 semaines de grossesse. De là, mon histoire d'amour avec mon auto a débuté. Non seulement elle freine pour moi, mais elle m'avertit si une auto est trop près avec des petits sons. C'est fort utile!

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