Ma première peine d'amour, je l'ai vécue à 12 ans. Ce n'était peut-être pas une peine d'amour en tant que tel, mais c'était tout comme. Ma meilleure amie de l'époque m'a annoncé qu'elle ne voulait plus qu'on soit amies.

Maintenant, quand j'y repense, je vois qu'on était peut-être pas faites pour être amies. La raison principale de notre « séparation » était qu'elle fumait la cigarette et qu'elle était tannée que je la taquine sur le sujet. Je ne savais pas que ça l'embêtait jusqu'à ce moment-là. Avoir su, j'aurais fait attention parce que je ne voulais pas lui faire de la peine, mais ça prouve aussi que nos divergences sur un sujet aussi prenant (du moins, pour notre âge) faisait que notre amitié ne tenait pas à grand chose. J'ai quand mêne eu beaucoup de peine parce que c'était un rejet. Tout simplement. Et mon égo a le don d'être touché dans ce genre de situations.

Par la suite, elle a changé d’école après le secondaire 3 et quand je l’ai revue deux ans plus tard, c’était pareil comme si je revoyais mon ex (je vous confirme, j’ai eu le meme noeud dans le ventre quand j’ai croisé le mien en tant qu’adulte la première fois). C'est pour éviter ce sentiment exact-là que c'est difficile de renoncer à des amitiés, surtout quand il y a un long historique. J'entends souvent des histoires de mes amis qui ont des meilleurs amis d'enfance qu'ils continuent de voir par habitude. Mais tout comme dans une relation amoureuse, c'est normal que tu grandisses différemment de ton ami. Tu deviens ta propre personne, même chose de son côté, et ça se peut que ça ne clique plus comme ça cliquait. Et c'est correct aussi. Il ne faut simplement pas avoir peur de renoncer à cette amitié si elle ne t'apporte plus rien de positif, si elle devient un fardeau dans ta vie.

Il m'est arrivé d'inviter des gens à mes partys par obligation (on est dans le même groupe d'amis, pas le choix, à moins de vouloir déclarer une guerre nucléaire!) et ne pas pouvoir en inviter d'autres que je vois moins souvent, mais que je sens me ressemblent plus. Le genre de personne avec qui j'ai envie d'investir mon temps. Et je trouvais ça frustrant. C'est à partir de ce moment-là que j'ai décidé de bien choisir mon entourage. Ça a l'air prétentieux dit comme ça, mais ce ne l'est pas du tout. En fait, à ce moment-là, j'ai décidé de me choisir, moi.

Je crois que les gens dont tu t'entoures reflètent beaucoup sur toi. L'entourage de quelqu'un m'en dit souvent long sur la personne. C'est pourquoi j'essaie le plus possible de m'entourer de gens positifs avec qui tout est facile, qui me font vivre toutes sortes de nouvelles aventures, qui n'ont pas peur d'être eux-mêmes et qui défoncent toutes les barrières. C'est comme ça que je décrierais tous mes meilleurs amis. Et j'espère qu'ils me décrivent ainsi aussi. Parce que je veux qu'ils me fassent grandir. Je m'entoure de gens inspirants dans différentes sphères de la vie pour que je puisse devenir la meilleure version de moi-même grâce à chacun d'entre eux.

Je les aime mes amis et c'est avec eux que j'ai envie d'investir mon temps. Tout simplement!

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À propos du look

J'ai décidé d'illustrer ce texte avec des photos de moi heureuse, parce que, ben, mes amis me rendent heureuse (je suis quétaine et je l'assume). Sur les photos, je porte la combinaison par-dessus un maillot de bain, mais je pourrais la porter également comme vêtement de la vie de tous les jours. Elle est super légère, donc parfaite pour les journées chaudes de l'été! C'est aussi un morceau parfait pour apporter en voyage parce que 1. voir ci-haut (un vêtement que tu peux porter dans deux contextes différents, j'adore!) et 2. il se glisse super facilement dans une valise.

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Le look:

Combi-Short - Bikini Village

Bikini - Bikini Village

Sandales - Aldo

Boucles d'oreilles - Reitmans

Lieu - Cuba

Photos - Vikki Snyder

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