Anonyme

Anonyme

Une rencontre au goût amer

Un innocent ne m’aurait-il pas demandé comment j’allais depuis? Lui qui m’écrivait d’habitude des dizaines de fois par jour ne m’aura redonné aucune nouvelle depuis…

On est trop de fous, et on ne rit plus.

Parce que moi, j’ai eu le « privilège » d’avoir accès à un psychiatre. Je l’ai eu par la bande parce que ma mère la connaissait. Si j’étais passée par les trous noirs des guichets d’accès, je serais probablement morte malgré les bons soins de mon médecin de famille.

Je suis mal, je le hais.

Je me sens tellement poche comme mère. Quand je pense à mon amie qui organise des vacances incroyables, monte sa boîte, court le marathon de NYC, vit ses émotions et déborde de joie, je me dis que ça, c’est un ostie de bon modèle.

Le fameux premier soir

Et si c’était moi qui avais tout bousillé inconsciemment ? Par peur de ne pas être à la hauteur ? Par peur d’avoir mal ? Peur d’aimer… D’être transie de désir… De me péter la gueule ou de me la faire péter ?

Je pense encore à toi

J’ai pris la décision de m’en aller. C’était mon choix. Pas le tien. J’avais besoin de partir. De me découvrir. De vivre des affaires. Seule. […]

Me retirer de toi

Un beau jour, tu étais là. Je ne t’ai pas directement remarqué, sous tes airs de dragueur, je n’étais pas intéressée. Puis il a suffi […]
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