Toi, qui a peur de sortir des sentiers battus, qui te sens coincé(e) dans une société qui ne te plaît pas. Celle qui, depuis ton enfance, te pourrit l’existence et qui t'empêche de trouver ton chemin. Es-tu prêt(e) à entendre ce que j’ai à te dire aujourd’hui ? Oui ? Génial ! Non ? Tu peux relever ce défi avec grandeur, car ça vaut le coup !

(À lire: Un échec, réellement? )

Que tu aies quinze, vingt-cinq, cinquante-cinq ou soixante-quinze ans, ce texte peut s’adresser à toi. J’avoue que je tutoie parce que je veux créer un lien avec toi. Une connexion authentique et sincère. Les normes sociales me diraient de te vouvoyer, mais tu sais, parfois, comme on écrit à un lectorat général, je préfère te tutoyer. J’ai pris mon chemin et j’assumerai les conséquences de mes choix.

J’ai une question pour toi.

Es-tu honnête avec toi-même ? Te sens-tu en plein ancrage avec tes valeurs ?

Si ta réponse est positive, je suis très heureuse pour toi et tu peux t’arrêter ici à moins d’une curiosité sans bornes qui te pousse à continuer cette lecture ? Si ta réponse est négative, tu es au bon endroit. Bienvenue âme incomprise de ce monde et surtout, bienvenue dans mon équipe !

Cet article ne sera pas rempli de petits papillons roses et de licornes (même si selon la mode en 2018, les licornes ont la cote !).

En ce moment, je suis dans une lecture hors du commun, une lecture qui me pousse à sortir de ma zone de confort.

Je sais que ce livre est très vulgarisé, mais je vous le propose amplement. Certains chapitres vous toucheront moins que d’autres, mais cette femme, Sarah Knight, qui voudrait qu’on l’épelle Sara sans H, a du cran. Beaucoup. Elle nous apporte des outils qu’elle utilise depuis le début de son cheminement personnel.

Source image: Sarahknightbooks

À travers l’humour et ses vulgarités, elle est arrivée à ses fins avec moi. J’ai décidé de foncer tête baissée dans ma pleine authenticité. Tu as bien compris. Depuis quelques années, je combats mon essence pour plaire à tout le monde pour finalement m’apercevoir que ça me rend plus dépressive que la moyenne des gens. Dans mon quotidien, comme vous avez pu lire dans mes articles précédents (voir La colérique retraitée et L’anxiété ; un combat constant), je vis des émotions négatives très intenses et handicapantes. Par la lecture de Fais comme tu le sens, j’ai compris une légère partie de mon mal-être… je ne suis jamais honnête avec moi.

Je vous souhaite de vous libérer des critères sociaux inutiles. Je ne parle pas ici des lois qui sont très importantes pour la sécurité des citoyens. Ne devenons pas des psychopathes, comme Sarah Knight dit. Soyons libres d’être qui nous sommes, dans nos couleurs, dans notre caractère, nos larmes et nos mots !

Comment dirais-je avec classe et vulgarité ? Sois toi-même et laisse tomber ce que la société de malades t’impose.

Source image de couverture: Unsplash

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