Tu sais, ce genre de situations dans lesquelles tu serais prêt à inventer des sacres tellement que ça te dépasse. Ce genre de situations où la seule chose que tu peux faire, c’est de respirer un bon coup sans quoi tu éclaterais. Ce genre de situation qui n'est simplement pas agréable. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis le type de personne qui en vit constamment.

Bon, je suis étudiante et si je veux économiser et penser un peu à l’environnement, le transport en commun s’avère un très bon choix. Par contre, il y a des petites affaires malaisantes qui arrivent quelques fois lorsqu’on opte pour cette décision. Dans cet article, je vais juste me concentrer sur le transport en commun parce que sinon j’écrirais 20 pages.

(À lire : Ces matins-là)

Les sauvages

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Tu sais, quand tu arrives dans l’autobus et que tu es celui/celle qui brise le fun de tout le monde parce qu'ils ont tous un banc de libre à côté d'eux, mais que toi, tu arrives au moment où tu dois choisir celui qui devra tasser son sac. Bon, on le connaît tous le truc du sac, au pire. Il y en a d’autres qui font semblant de dormir, d’autres qui regardent par terre et ceux qui s’écartent comme s’ils mesuraient 8 pieds de long. Hey, ce n’est pas grave de t’assoir à côté de quelqu’un. Si tu ne veux pas lui parler, mets tes écouteurs et fais tes trucs. OU tu décides de t'ouvrir à l’autre et de rencontrer une personne vraiment intéressante. À quel point on peut être sauvage?

Être collé; une joie quotidienne

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Le matin dans le métro et dans l’autobus, on peut observer que ce n’est pas tout le monde qui se réveille avec la même routine, hein. Ceux qui se vident la bouteille de parfum, ceux qui oublient qu’ils peuvent avoir une haleine de chameau, ceux qui ont l’air d’avoir dévalisé six boutiques le matin même et qui prennent toute la maudite place, ceux qui se pètent les tympans et qu’on entend toute leur musique, ceux qui te fixent et qui te font à la limite peur…  Et puis, il y a les moments où toi tu as la honte de ta vie. Quand tu cours pour rentrer à temps et que tu te retrouves avec le manteau coincé ou bien avec une belle prune sur le front parce que la porte a décidé de faire son indépendante. Quand ça arrête de façon beaucoup trop sec et que tu t'accroches à une personne telle une bouée en tirant sur son chandail. Tu peux aussi carrément juste tomber ou te renverser l'entièreté de ton smoothie bio dessus.

Le covoiturage; ça passe ou ça casse

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Les situations parfois très spéciales qui vont avec le covoiturage. Bon la plupart du temps, c’est super. Même que tu peux vraiment avoir du plaisir et partager de bons moments/discussions avec de parfaits inconnus. C'est surprenant.

Mais des fois, câline. Le choix de la personne qui va s’assoir en avant, c'est toujours si difficile. On s’entend, personne ne la veut cette place, parce qu’on est sauvage (retour au premier paragraphe). Donc finalement, c’est toi l’heureux élu qui a été proclamé la personne assise à l’avant. Tu te forces pour parler et quand  il y a un petit temps mort, tu n'es juste plus capable parce que tu n'as plus d’énergie, tu as épuisé tous les sujets de conversations possibles et ta soirée de la veille se fait de plus en plus ressentir ; tu finis par t’endormir. Dormir comme une vraie marmotte à côté d’un parfait inconnu. #Bienjoué. 

Quand la personne arrête vraiment souvent ? Ok. Vais-je finir par me rendre un jour ? As-tu bu un gallon de liqueur aux fraises avant de partir? (Non, plus personne ne boit ça, mais avouez que c'était la meilleure liqueur au monde) En tout cas, tout ça pour dire: D-É-P-L-A-I-S-A-N-T.

Je vais m'arrêter ici. Assez voyagé pour aujourd'hui. Je ne veux quand même pas te donner mal au coeur. Sur ce, je te souhaite de vivre de belles expériences en transport en commun; souvenirs inoubliables assurés.

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