Chaque époque a son lot de do’s and dont’s, que ce soit en mode, en coiffure ou en maquillage. Je suis née en 1990 et je me rappelle particulièrement des erreurs de maquillage que nous faisions à la fin de cette décennie et au début du nouveau millénaire.

Le eyeliner blanc

On se croyait vraiment belle, mais ô que ça ne nous avantageait pas. La belle ligne blanche au ras des cils avec aucune ombre à paupières et aucun, ou peu, de mascara.

bal de finissant photo 2000Source: Moi-même à mon bal de finissant

Le crayon noir dans la muqueuse du bas

Encore une fois, sans rien vraiment mettre d’autre comme maquillage, juste une grosse ligne noire dans la muqueuse du bas de l’œil. Soit tu en mettais qu’une petite ligne, ou si tu étais plus du genre emo, tu dépassais jusqu’en dessous des cils du bas. Tout ce que ça faisait, c’était de mettre en valeur nos cernes!

Crayon noir et paillette pour les yeuxSource: Shana Myriam Ravary

Le gloss ultra glossy et pailleté

Au contraire de la mode du mat qu’on voit depuis quelques années, on optait pour le gloss. Mais pas n’importe quel gloss, non, celui qui était aussi luisant que de la graisse et qui contenait une tonne de paillettes à l’intérieur. Tu sais, les gloss qui sont maintenant réservées aux petites filles de 5 ans. Mais toi, tu les portais lors de ton adolescence.

Les paillettes pour le corps

Il s’en vendait en vaporisateur, en crème, ou en gros pinceau distributeur de paillettes. On en mettait sur notre cou et nos bras, ainsi qu’un peu sur notre ventre quand on portait le chandail bedaine. Ce n’était pas réservé qu’aux grandes sorties, non, on le portait même à l’école.

soirée année 2000 avant de quitter la maisonSource: Shana Myriam Ravary

Les ombres à paupières blanc-pastel

Quand on s’aventurait dans les ombres à paupières, pas question de mettre des couleurs neutres ou foncées. Le charbonneux n’était pas à l’honneur à cette époque. C’était le règne des pastels et du blanc. Il n’était pas question non plus de mettre plus qu’une couleur. Une seule couleur extrêmement pâle ornait nos paupières et n’aidait en aucun cas à mettre nos yeux en valeur.

Le mascara «araignées»

Pas une, pas deux, ni trois, mais bien quatre ou cinq couches de mascara étaient nécessaires pour réussir son maquillage. Il était hors de question également de se démaquiller. Très peu de nous avions pris cette habitude. Il valait mieux accumuler les jours de mascara, en plus, ça évitait de devoir faire la ligne noire dans la muqueuse du bas!

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Et toi, c’était quoi tes erreurs de maquillage quand tu étais plus jeune?

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