***Cet article est sponsorisé par MEC, mais toutes les opinions sont les miennes.

J'ai toujours aimé le plein-air, mais plus les années passent, plus je prends plaisir à jouer dehors et plus j'en ressens le besoin. Dès que je peux quitter la ville la fin de semaine venue, je le fais sans hésiter. Ainsi, ceux qui me suivent sur Instagram (ICI) ont pu remarquer que je suis une grande adepte de camping et de fins de semaine au chalet. Je connais d’ailleurs assez bien notre belle province à force de la sillonner à la recherche d’aventures. Pour plusieurs, la fête du travail est une des dernières chances de dormir dans une tente et profiter des joies du camping. Je ne suis pas d’accord! J’aime étirer le tout le plus possible. J’avoue que je n’ai jamais essayé le camping l’hiver, mais j’y compte bien un jour!

Pour bien vous faire vivre le tout, j’ai non seulement un article et des photos, mais une vidéo! Par chance pour PO et moi: le ridicule ne tue pas!

 

Ainsi, il y a une semaine, je me suis rendue au parc de la Sepaq du Mont-Tremblant avec mon ami Pierre-Olivier afin de profiter des couleurs de l’automne. C’était la longue fin de semaine et j’étais étonnée de voir le nombre de personnes qui avaient choisi elles aussi de jouer dehors! Tant mieux!

PO et moi avons donc pris la route dimanche matin (on serait bien partis samedi, mais il pleuvait). On est parti tôt afin de pouvoir profiter de la journée devant nous. Dès notre arrivée, nous avons choisi de faire une randonnée afin de monter une montagne et de pouvoir admirer la vue de la région et ses couleurs. Sachez que la Sepaq évalue toujours les parcours à un pas très lent. Nous avons complété le tout deux fois plus vite (ok, mais on avait choisi de la faire à la course pour bouger un peu plus).

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Découvrant que la première randonnée nous avait demandé moins de temps que prévu, nous avons choisi d’aller voir une des chutes qu’on trouve dans la forêt du parc du Mont-Tremblant. Sous un ciel gris d’automne, c’est tout simplement éblouissant.

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Il n’était pas 17h, mais nous avons tout de même pris la route du campement. En automne, le soleil se couche tôt et nous n’avions pas envie de monter la tente dans le noir: j’avais la chance d’avoir une nouvelle tente et je ne la connaissais pas encore. Mes tentes et moi, c’est une histoire d’amour. J’apprends à les connaître et elles se montent ensuite presque toutes seules. Avec le blogue, j’ai la chance de travailler avec des entreprises fabuleuses. MEC, j'en suis fan depuis des années. J’adore le magasin et l’offre plein-air qu’on y trouve. Ainsi, quand ils m’ont proposé de travailler ensemble pour montrer les joies de jouer dehors à mes lecteurs, je ne pouvais qu’être la plus heureuse! C’est le genre d’association toute naturelle qui me colle à la peau. Ainsi, pour la fin de semaine, PO et moi avions la chance de dormir dans la Cabin 4 de MEC. Quand ils m’avaient dit que j’aurais une tente pour quatre, je m’étais dit: ok, on aura de la place pour deux. C’est normalement la réalité des tentes: c’est minuscule. Quelle erreur de ma part! La Cabin 4 est si grande qu’on peut se tenir debout dans cette dernière et elle loge aisément quatre adultes. C’est facile de la monter puisque les batons fonctionnent en code de couleur avec la toile: pas besoind’être un pro! On s’y sent comme dans une mini-maison!

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Outre la tente, MEC m’avait fourni un sac de couchage de leur collection maison qui permet de rester au chaud jusqu’à 0. Durant la nuit, il a fait moins que zéro (eh oui) et j’ai tout de même dormi comme un bébé! J’ai aimé l’attention de l’équipe là-bas qui ont voulu m’offrir un sac pour femme petite parce que pour un sac, plus il est grand plus on s’y perd avec des espaces qui ne nous gardent pas au chaud et à l’automne: on veut tout sauf cela.

Finalement, dans la tente, nous avons aussi eu la chance d’avoir des oreillers gonflables. J’étais la première sceptique de cette idée puisque je dors mal dès qu’un oreiller ne me convient pas. Quelle erreur! C’était le confort total (attention de ne pas trop les gonfler). De plus, le dessous est anti-dérapant pas qu’ils ne se sauvent pas durant la nuit!

Après avoir monté notre petit campement, PO et moi avons choisi de passer la soirée calmement: repas et guimauves sur le bord du feu en se parlant de tout et de rien. Nous sommes amis depuis le primaire, on se connait par coeur, sans cachettes, avec nos qualités et nos défauts et c’est ce qui rend notre amitié si belle selon moi. Avec PO, je dis tout sans jamais avoir peur de me faire juger. Et autour d’un feu, c’est toujours le bon moment pour cela…

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Le lendemain matin, je me suis fait réveiller par PO et l’odeur d’un café. Il avait tout préparé: mon café avec le aéropress reçu par MEC, nos sandwichs du diner, et ranger les trucs de la veille… comme un papa. En moins de deux, on a tout démonté afin d’aller faire notre activité du jour: 4 heures de canot en descendant une rivière.

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J’ai toujours aimé l’eau. Et les sports d’eau. Toutefois, dans ma vie, j’ai davantage pratiqué le kayak. Allez savoir pourquoi. Ainsi, quand PO m’a dit qu’on descendait la rivière en canot, j’ai dit: pourquoi pas! Et ce fut vraiment une belle activité. Comment ça fonctionne? C’est simple: la Sepaq vous amène à un premier lac d’où part une rivière avec des rapides. De là, il suffit de suivre la rivière pendant trois heures. Ils reviennent te chercher en bas quatre heures plus tard, ce qui donne une petite heure pour diner sur une des plages qui longe la rivière (il y en a une centaine, c’est intime à souhait). Pendant tout le parcours, nous avons papoter sans que ce ne soit trop forçant. Nous nous sommes ensuite arrêtés pour diner, assis sur nos chaises à deux pattes reçu par MEC. C’était simplement magique.

Puis, 14h. L’heure de retourner vers Montréal, de rentrer  la maison, mais la tête pleine de souvenir… j’y retournerai l’an prochain, et je vous le conseille!

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