Je suis célibataire. Depuis un petit bout. Pourtant, je ne suis ni moche à regarder, ni plate à écouter. Et je le jure, j’ai tout essayé : l’ami d’un ami d’une amie, les bars, le speed dating, les activités sportives, les rassemblements de quartier, les sites de rencontres payants et gratuits… Mais ça n’a pas marché. J’ai donc fait semblant de ne plus chercher, me fiant au conseil mille fois entendu : « C’est quand on arrête de chercher qu’on finit par trouver. » Résultat?

Le célibat

Complètement désespérée, je suis passée à deux doigts de baisser les bras, quand une amie m’a parlé des applications de rencontres Tinder et Happn. J’ai donc testé les deux. Mon verdict? J’ai détesté Tinder et adoré Happn.

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Voici pourquoi : 

1.  Le mode de présentation des profils

J’aime le mode « fil d’actualité » de Happn. Et hais le mode « un à la fois » de Tinder. Pourquoi? Car Tinder me donne l’impression d’être dans un buffet où chaque mets (mec) m’est présenté un après l’autre. Un mets qui, malheureusement, disparaît à tout jamais du menu si rejeté à première vue. Frustrant! Tandis que Happn, avec son fil d’actualité, offre une vue d’ensemble sur le buffet. Me permettant ainsi de choisir tous les plats jugés appétissants. Sans perdre de temps avec les moins alléchants. Et sans perdre ces derniers pour toujours, également.

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Source : media.tenor

2. Les photos de profils

Trop grosses sur Tinder. Quand Dave 40 ans apparaît en gros plan sur mon écran, je me sens agressée. Alors qu’avec Happn, Dave 40 ans, Benoit 38 ans et Nick 37 ans apparaissent en plus petits. Et c’est seulement si un d’entre eux attire mon regard que je clique sur sa photo et lui permets de prendre toute la place sur mon écran. Donc adieu le sentiment d’envahissement!

3. La manipulation des applications

Tinder, avec sa fonction « glisser le profil à gauche avec son doigt si non aimé », me fait parfois rejeter un profil malgré moi. Par automatisme. Parce que ça fait dix que j’élimine. Avec Happn, je n’ai jamais ce problème. Car pour éliminer un profil, il faut peser sur un tout petit X. Ce qui réduit grandement les erreurs de doigté.

Source : santmagazine

4. Le territoire couvert.

Tinder présente des célibataires se situant de 2 à 161 kilomètres. Ce qui encourage les relations à distance et épistolaires menant nulle part. Alors que Happn, avec ses célibataires qui se trouvent à moins de 250 mètres, le voisin d’en arrière trop beau pour être vrai devient une réelle possibilité. Certes, pour des questions de sécurité, la localisation exacte d’une personne n’est jamais dévoilée, mais cette fonction « proximité » rappelle qu’une téléportation dans une autre galaxie n’est pas nécessaire pour trouver l’amour de sa vie. De plus, en géolocalisant les gens croisés en temps réel, Happn protège des faux profils et remet le fil d’actualité à jour au gré des déplacements.

5. La qualité des profils.

En trois semaines, j’ai rencontré zéro célibataire de qualité via Tinder et trois via Happn. Trois célibataires beaux, charmants, drôles, intelligents. Dont aucun n’est encore devenu mon amoureux… Je dis bien « encore », car j’ai espoir.

Voilà donc pourquoi Happn a conquis mon cœur. Et pas Tinder. Oui, grâce à Happn, ce Google Map de l’amour, je sens que je dirai bientôt adieu à mon itinérance amoureuse…

En trouvant enfin mon itinéraire vers l’amour

*L’application Happn peut être téléchargée gratuitement sur Apple Store /Google Play Store.*

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