La fin d’année scolaire approche pour le secondaire. Qui dit fin d’année, dit bal des finissants. Qui dit bal, dit robe, dit souliers, dit maquillage et bref dit bien des choses. À force de recevoir des courriers de lectrices demandant conseils pour cette soirée, nous ne pouvions nous empêcher de nous rappeler notre propre look lorsque le jour B est arrivé...

Alexandra et Annie

Alexandra: J’avais commandé ma robe sur un site internet new-yorkais qui faisait des copies de robes de célébrités. Je voulais une robe classe, comme une star sur un red carpet, c’était très important pour moi ! Merci Seigneur, elle me faisait quand elle est arrivée; quelques petits ajustements et c’était parfait! Je tenais à me faire maquiller absolument chez Chanel, après être passée chez la coiffeuse. J’ai bien bossé les deux, je savais exactement ce que je voulais. En y pensant, j’aurais dû me maquiller moi-même (lol). Dans ma bourse, j'avais mon téléphone, mon appareil photo, de l'argent, du rouge à lèvres et de la poudre. À la fin de la soirée, je portais encore mes souliers... mais avec douleur...

Annie : J’avais une robe à la fois princesse et casual! Elle avait du bling bling et un style voilé, tout en étant simple car j’ai pu la reporter à un mariage sans être too much. J'étais allée me faire coiffer et maquiller chez Lise Watier. J'avais mis dans ma bourse mon gloss, ma colle à cils, mes cartes et des lingettes démaquillantes pour l’après-bal (un bon truc pour éviter des dégâts)!. Comme j'avais choisi de porter des gougounes métalliques et diamantées du Château pour l’occasion, j'avais pu endurer mes pieds toute la soirée.

Florence et Julie

Florence : Je voulais une robe casual parce que j’ai l’intention de la reporter et que je préférais adopter un style « adulte ». J’ai acheté ma robe (qui était courte) à la vente entrepôt du BCBG pour 50$ au lieu de 350$ en novembre. Finalement, je me suis rendue compte que j’en voulais une longue, alors je suis retournée au BCBG et j’en ai trouvé une à 60$ au lieu de 200$! J’ai la chance d’avoir une mère maquilleuse professionnelle donc elle a fait mon maquillage et celui de  ma meilleure amie. On a ensuite fait faire nos cheveux dans un salon à St-Lambert (Vitalité Esthétique). Pour ce qui est de ma bourse, j'y avais judicieusement mis mes ballerines, un appareil photo, des bobépines et un rouge à lèvres. Les ballerines m'ont sauvé les pieds en fin de soirée.

Julie : J’avais une robe de sirène ! Comme je ne suis pas grande, je trouvais que ça m’avantageait et allongeait ma silhouette. Je n’avais malheureusement pas prévu que ce serait comme exercer un sport que de marcher dans celle-ci.  De plus, elle avait été créée de toute pièce : résultat unique, mais beaucoup trop coûteux!  Par contre, pour le maquillage et la coiffure, c'est une autre histoire! La mère d’une amie travaillait dans un salon de coiffure, alors nous n’avons pas déboursé un sou de ce côté. Également, cette même maman avait un contact chez MAC, alors nous n’avons pas dépensé pour cette étape non plus. Au prix que la robe a coûté, une sainte chance! Dans ma bourse, j'avais mis  mon rouge à lèvres, mon appareil photo, ainsi qu'un bâtonnet tide to go et en fin de soirée, je ne portais plus mes souliers.

Kanica et Kym

Kanica : J’ai mis une robe chic du BCBG avec une raie manta rosée sur le côté. Quand j’ai essayé ma future robe au BCBG entrepôt, elle était clairement trop lousse pour moi. Je flottais dans la robe de la plus petite taille en me plaignant devant le miroir de la salle d’essayage. Deux bonnes femmes anglophones m’ont dit ‘’honey, we wish we had that kind of problem’’. Je me suis fermée la trappe et j’ai acheté la robe. Comme en secondaire V j’étais frustrée contre l’humanité (lol), c'est à la dernière minute que j’ai décidé d’aller à mon bal. J’ai mis des verres de contact et des faux cils mal appliqués (oups). Je ne voulais surtout pas avoir l’air d’une tornade de spray-net et bobby pins. Jamais de ma vie je n’ai enlevé mes talons parce que j’avais mal lors du bal. J’ai assumé silencieusement l’agonie.

Kym : Je portais une robe longue et droite avec une traine. Je n’avais pas vraiment de critère préétabli donc il n’y avait pas de raison particulière sauf que je l’aimais bien :) J’ai acheté ma robe à une finissante de l’année précédente (passer ma journée à essayer des robes me décourageait plus qu’autre chose hahah). Pour agencer le tout, j’avais soigneusement choisi de porter des gougounes chic parce que moi et les talons, ça fait totalement deux ! Tôt le matin du bal, je suis allée chez ma coiffeuse afin qu’elle me fasse une coiffure et il y avait également une maquilleuse sur place ! Je n’avais pas acheté de bourse pour la soirée: ma mère et mes amis gardaient mes trucs dans leurs poches. Vive la simplicité sans complication!

Laurence et Virginie

Laurence : Après quelques séances de magasinage, je me suis retrouvée au Carrefour Laval où la première robe que j’ai essayée a été « the one ». De la marque Sinécanone, elle était courte, bustier, avec un pattern noir et blanc et surtout pas too much. Bref, je voulais éviter le style Plaza St-Hubert. J’étais allée au comptoir l’Oréal du La Baie au centre-ville pour le maquillage, puis ma sœur (qui a beaucoup de talents artistiques) m’avait fait mes cheveux. Le tout (maquillage et coiffure) avait tenu jusqu’au lendemain matin. Je ne me souviens plus ce que j'avais mis dans la pochette que j’avais acheté au Aldo, par contre je l'utilise encore aujourd'hui! Elle ne s’est jamais démodée. Mes talons ont durés moins longtemps eux, mais ils étaient confortables et tolérables.

Virginie : J’avais choisi une robe cocktail assez simple, couleur champagne… La dernière chose que je voulais, c’était d’avoir l’air d’un gâteau de mariage des années 80. Je suis donc allée dans la simplicité. J’ai trouvé ma robe en accompagnant une amie qui voulait aller chez BCBG. Je n’avais même pas commencé à magasiner pour mon bal. J’ai vu cette robe, je l’ai essayée, je l’ai achetée. Simple as that. Ce fût réglé !  Je suis allée me faire coiffer (je voulais un look à la Marilyn Monroe, le résultat final n’était pas DU TOUT semblable, mais j’ai décidé d’aimer ça quand même). Je suis aussi allée me faire maquiller: je n’avais pas tellement d’expérience en maquillage dans le temps et le maquillage pro ajoute à l’excitation de la préparation. En fin de soirée, je portais toujours mes talons, mais j'avais mal.

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