Une personne c’est mon homme, l’autre c’est sa fille.
Une personne c’est elle, l’autre c’est moi.
Nous sommes deux.
Nous sommes deux personnes à deux époques différentes.
Même lieu, autre temps, autres mœurs.
Deux personnes, deux diagnostics, deux niveaux d’intervention.
Une motivée à changer, une dans le déni. Celle du déni, ne veut pas entendre sa petite voix et continue à la noyer ailleurs dans des bouteilles bon marché de dépanneur acheter depuis si longtemps par une fille nommée ci-haut, même pas en âge légal mais pour de l’argent reçu par l’homme, elle fait fi de rien et laisse les autres faire la job sale d’aller acheter la cause de son mal être. C’est comme l’encourager. Deux personnes sont victimes, témoins et impuissants : le père et la fille. L’autre motivée, fait des démarches, sobrement dans le système de santé, sans avoir de réponses claires et elle attend patiemment un appel téléphonique qui ne viendra surement jamais, car c’est jamais si urgent que ça, un trouble de personnalité limite. Ça fait un mois, qu’elle attend, sans signe de vie. Ils attendent que sa vie s’éteigne, comme les cigarettes qu’elles fument? Elle fonctionne en société mais déteste les gens, désolée de voir la bêtise humaine autour d’elle comme peste qui infecte le pauvre monde. Elle fout le trouble autour d’elle, dans sa propre famille, sa famille reconstituée, une fille et d’un homme, ses amis… Par voix orale ou écrite, comme dans les examens de cours de français au secondaire. Dans lesquels, elle était très forte avec des notes représentant la perfection. La perfection de s’exprimer dans deux voix qui sont touchantes et à la fois meurtrières à certain moment. Car la vérité sort toujours de la bouche des enfants : Et les adultes se bouchent les oreilles en faisant la sourde oreille. L’autre croit que les caucus dans une partie de football à la télévision sont entrain de parler d’elle. Une croit en la vie, l’autre croit pouvoir la noyer pour la laisser sombrer dans les rêves sombres de sa mort venue sans l’aide monétaire de l’homme.
Situation désirable?
Non.
Oui.

triste maladie mentaleSource : Pixabay

Une va se faire soigner, du moins attendre un signe de vie qu’un système à la rapidité d’une tortue.
Et l’autre va se noyer tout seule comme une grande dame, celle qu’elle fût à une autre époque et qui dieu sait est révolue depuis longtemps et de plus près car, sa fille n’est plus là pour nourrir son biberon d’adulte avec un pension généreuse pour une fille unique qui en fait vivre deux.
L’homme lui subit les conséquences d’un geste regrettable, d’une situation de mort inattendue et pour combler le vide de l’autre s’est rendu dans un pays lointain d’ici pour donner la vie à nouveau à une fille qui serait prostitué dans ce pays à cette âge. Cette fille, à maintenant une vie magnifique, tachée par celle d’une personne qui veut se noyer et l’emporter avec elle. C’est son arme de destruction massive pour l’homme. L’homme le sait, donne les avertissements, mais au bout du compte. C’est sa mère l’autre personne et la bonne c’est sa belle-mère. La bonne ne sera jamais assez bonne pour être l’autre. L’autre sera toujours plus puissante que la bonne. Deux personnalités, deux temps, deux époques et deux personnes malheureuses.
« C’est la vie », comme dirait Bobby Bazini dans son dernier succès. (ici)

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