Jeudi dernier avait lieu au Espresso Bar rue St-Denis sur le Plateau Mont-Royal le lancement médiatique de la nouvelle collection de Audvik. Marque rachetée depuis quelques années par la jeune entrepreneure Sophie Boyer, Audvik se transforme une fois de plus puisqu'on a pu découvrir le nouveau logo de l'entreprise le soir-même.
Audvik, ce sont des manteaux et des accessoires conçus pour les rudes hivers canadiens par des gens d'ici. Pour sa nouvelle collection, Sophie a créé deux nouveaux manteaux: le Montréal et le Toronto. Ce sont des morceaux résolument urbains qui réinventent la parka traditionnelle. Le Montréal est le modèle pour femme qui est fait plus ample afin d'assurer un confort même si on porte un gros gilet de laine comme première couche. Sa plus grande particularité est sans contredit son double-capuchon. En effet, le manteau comporte le premier capuchon habituel et un capuchon amovible lustré afin d'être encore mieux protégée lors des tempêtes. Le Toronto propose le même concept, mais pour hommes.
La soirée de lancement fut un véritable succès. Dans le petit bar spécialisé en vélo se sont amassés des journalistes, des blogueurs, des professionnels du milieu de la mode et des proches de Sophie Boyer. On a pu découvrir les tuques et les tasses à l'effigie de la marque. Une première pour Sophie qui proposait jusqu'à maintenant seulement les manteaux (c'est déjà énorme, avouons-le). C'est excitant de voir que cette magnifique compagnie d'ici continue de grandir et on espère voir sous peu de nouveaux morceaux voir le jour. Je mentirais de ne pas dire que je rêve de manteaux d'entre-saison signés Audvik avec l'automne qui arrive et même de couches qu'on pourrait mettre sous nos manteaux favoris.
Voici quelques photos de la soirée qui fut une belle réussite:
Crédit des photos ci-haut: Alexandra Lagueste
Je vous laisse sur une photo de quelques-unes des bonnes amies de Sophie. Quand on est entrepreneure, le cercle proche de nous est vraiment important. Je me trouve chanceuse d'avoir Sophie dans mon entourage. Lors de nos courses matinales, on parle de tout et de rien, mais on parle aussi de notre quotidien de femmes d'affaires et des défis que cela représente.
